Kane Kurai

Age : 27 ans
Village : Konoha
Grade&rang : Junin rang B
Surnom : aucun

« Cette femme ? Elle est … Etrange on va dire. J’ai dut aller en mission avec elle une fois, on ne peut pas dire que c’était une partie de plaisir, la mission était difficile, tordu, mais, elle, sa a semblait l’amusé. Elle n’a pas arrêté de sourire tout dut long, comme si elle était procédé. Par contre, elle est très efficace. Elle parle peu en mission mais lorsqu’on a prit un verre ensemble ensuite, j’ai pu la connaitre un  peu plus. Je ne sais pas si j’aimerais repartir en mission avec elle, après tout se que j’ai entendu … Je serais toi, je me méfierais! » Conseil d’un Chuunin de Kiri.

« Ah, Kurai-san, elle est très silencieuse! Très serviable, je ne l’entends jamais j’ai même parfois l’impression qu’elle ne rentre pas chez elle! Elle doit être beaucoup en mission! En plus elle n’amène jamais personne chez elle. Je n’ai vu aucun homme entrer dans sa maison! Jamais! Pourtant elle est si jolie. Peut être que si elle coupait un peu ces cheveux, on croirait qu’elle se cache en dessous! Ah ah » Propos recueillit chez la voisine.

« Vous savez je suis médecin, cela fait partit du secret professionnel, mais, je dois souvent la voir pour examiner son corps, elle … Se n’est pas comme si elle était malade mais … Mais son corps est de faible constitution alors on discute souvent, on prend un verre et … - il rougit.- elle est plutôt mignonne, parfois, je parle plus de moi que elle d’elle! Et elle écoute sans discuter. Elle est … Gentille. » Rapport de son médecin, au détour d’un café.

« Ah? Kane-chan, oui, c’est une très bonne élève, au département elle est très doué et écoute attentivement tout ce qu’on lui conseil et met tout en œuvre pour faire se qu’on lui demande. Je ne sais pas vraiment si elle aime ce qu’elle fait parce que, son visage pendant la séance n’est pas le même qu’en dehors mais, je pense que cela lui plaid, d’une certaine manière. Par contre, je pense aussi qu’elle n’aime pas salir ses vêtements! Ses travaux sont toujours très propres! » Son sensei au département de l’information.

« Qui ? La fille a la capuche ? Ah oui. J’ai couché plusieurs fois avec elle, mais jamais chez elle, toujours chez moi ou à l’hôtel. La première fois, elle ne m’avait même pas donné son nom! On ne peut pas dire que se soit une femme très causante en Sexe ! Ah ah ah! Par contre, elle est vraiment très douer de ses doigts et … Enfin peut importe. J’ai déjà entendu dire qu’elle faisait même ça avec des femmes! C’est vraiment un bon coup même si je ne suis jamais sur de la revoir. » Dire d’homme des bas quartiers.

« Moi ? Et bien ... Je suis quelqu'un de serviable je crois. Je ne suis pas particulièrement gentille, par particulièrement méchante non plus. Je suis débrouillard et j'aime être seul. Ah! J'aime bien embêter un peu les gens, ils sont souvent drôle lorsque quelqu'un qui semble sérieux lors lance un pique! - rire doux- Je suis juste moi. » Propos recueillit après de Kane Kurai elle même.

Histoire - Rédigez ici l'histoire de votre personnage.. Son enfance, sa jeunesse, les événements marquants qui ont fait de lui ce qu'il est désormais. Bref, racontez nous sa vie. Merci de bien poster votre histoire sous les balises Hide. Passage obligatoire pour les personnages inventés, mais facultatif pour les personnages issus de Naruto.

- « Kane ? Kane-chan ?
Un mouvement, dans le fond d'une crasseuse cellule. Un grognement, puis une jeune femme à l'air frêle apparu dans les lueurs de la lampe torche que le médecin prenait toujours avec lui. L'homme d'une trentaine d'années la regardait. Il observait ses courbes gracieuses se dessiner sous les lueurs vacillantes de ses doigts. Il observa son visage au cheveux a la frange noir bien trop longue. Il observa son t shirt trop court dévoilant son nombril et les quelques cicatrise qui sculpté son corps. Lui donnait un air sauvage. Il la regarda, tentant de plonger ses yeux dans les iris de la jeune femme. Un regard qu'il n'avait jamais vu... Il tremblait. Déglutissant, il lui parla encore.
- Kane-chan … Vous pouvez sortir...
La dame approcha encore un peu, prenant entre ses doigts les lourd barreaux de sa cellule, caressant  un espoir. Un rêve. Caressant une idée... Puis la chassant, peu sur de la réalité. S’agissait il là d'un rêve ?
- C'est vrai ? Souffla elle, priant presque.
Il hocha la tête et il vit, pour la première fois depuis les 6 ans qu'il la suivait, ses yeux bleu trop clair brillaient d'émerveillement. Il vit ses lèvres vibrer, il vit sa mâchoire se serrer. Il vit ses doigts se serrer sur les barres de métal sombre, jusqu'à se que les jointure de ses mains deviennent blanche. Le médecin approcha, franchissant une ligne de sécurité imposé par la hiérarchie, posant ses doigts sur la grilles, caressant du bout de ses phalanges les mains de la jeune femme. Elle était froide, presque aussi froide qu'un mort. Il posa son front sur le sien, voulant sans doute instinctivement lui donner de sa chaleur.
- Oui. » Lui murmura t il.

D'un geste, il indiqua au garde d'ouvrir la lourde porte de la cellule. L'homme s’exécuta et, le médecin pu voir sa protéger s'enfoncer à nouveau dans les ténèbres. Maintenant que sa prison était ouverte, allait elle reculer à nouveau dans les ténèbres ? Il l’entendit bouger, et doucement, elle sortit de sa prison. Prenant garde à ne pas entrer en contact avec le soldat face à elle ; Prenant garde à ne croiser aucun regard, enfonçant sa joie sous un masque placide. Lorsqu'elle posa enfin la pointe de ses pieds nue en dehors de sa cage, le médecin crus voir un frisson monter le long de son dos et parcourir sa colonne jusqu'à sa nuque.

Puis elle fit un deuxième pas. Courageuse, la jeune femme quittait son passé. Elle prit une longue inspiration et laissa le médecin la guider à travers les sombre couloir. Sans un mots, sans un bruit, sauf peut être ses pas qui foulaient le sol de pierre crasseux. Elle pensa que c'était sans doute la dernière fois qu'elle empruntait de tel couloir. Que c'était la dernière fois qu'elle en remontait, la dernière fois qu'elle y séjournait. Elle pensa à l'humidité, à ses membres frêles toujours engourdit par le froid. Elle pensa à sa faim, une faim qu'elle ne sentirait sans doute plus maintenant... Mais elle ne pensa pas à se qui l'attendait, ne pensant qu'à se qu'elle laissait ici. Ses larmes et ses regrets.

Puis enfin, un dernier escalier. Celui qui l'avait faite tomber la première fois. Celui qui l'avait con duite aux ténèbres. Enfin, un dernier soupire. Un dernier regret et elle fit un énième pas, avançant vers la lumière.

Mais … Elle s’arrêta. Prenant son temps, elle s’arrêta dans la contemplation d'une lumière trop vive, trop blanche. Elle s’arrêta, fermant les yeux, caressant du bout des doigts ses paupières closes. Et … Elle fit un autre pas. Les yeux clos, et encore un pas. Toujours les yeux fermé. Elle sortit de cette prison souterraine, sentant tout d'abord l'odeur de l'herbe. Elle était pourtant sur d'avoir oublier cette odeur là, mais, elle lui revint, soudain, fraîche et pure, glacial. Lorsqu'elle eut franchit la dernière marche, elle sentit le soleil sur ses pieds, remontant doucement sur ses membres pales et frêles. Réchauffant son corps. Et, aussi un peu, son cœur.
Et à nouveau, elle s’arrêta. Vibrante, terrifier par cette lumière, par cette chaleur qui envahissait son âme à chaque pas.

Prenant une grande bouffé d'air frai, de courage, la femme fit son dernier pas. Mais aussi son premier vers sa nouvelle vie.
La chaleur du soleil atteignit son visage. Elle se sentit libre. Elle se sentit loin de se qui lui était arrivé, loin de ses maux qu'elle avait pu causer au village, loin de cette pièce sombre et humide dans là quel elle était resté trop de temps.
Le calvaire était finit : elle pourrait de nouveau vivre comme les autres.

Alors, elle ouvrit enfin les yeux. D'abord, la lumière l’éblouit, mais elle se força à garder les yeux grand ouvert ne plaçant que ses doigts entre elle et le soleil trop fort. Doucement, son regard s'habitua à la lumière et elle pu voir se qui l'entourait. Un médecin, qui avait trop d'années été démesurément gentils avec elle, trois shinobi de Konoha, veillant à la sécurité du village, à ce qu'il ne lâche pas une folle dans les rues du village. Et puis, enfin, comme un vieil et implacable souvenir : Atsuo.
- «  Atsu … »
Souffla t elle en s'approchant de lui. Elle baissa les doigts qui lui barraient la vue, et elle pu contempler ce que 6 années d'enfermement avaient fait sur le corps du jeune homme. Il lui sembla plus grand, il lui sembla plus fort, plus beau. Il lui sembla plus sur de lui.

Il lui sembla qu'il lui avait pardonner, aussi.

Avec un sourire léger, il s'approcha d'elle, entourant ses épaules étroites de ses bras solide. Kane pu enfouir son visage sur son torse large et pour la première fois depuis des années, elle pu laissait la joie la submerger. Elle pu laisser l'émotion, toutes ses émotions prendre prise sur elle et son corps vibrant, vacillant. Lorsqu'elle se détacha de lui, le médecin de la prison pu voir des larmes couler sur son visage, il se demanda si il s'agissait du soleil, trop fort pour ses prunelles, ou l'émotion. Mais cette pensée lui échappa rapidement lorsqu'il vit un sourire sur ses lèvres fines. Un sourire, ni trop grand, ni trop petite. Un sourire humble, heureux. Heureux sans doute aussi que son ami soit là pour elle.

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